Buenos Aires

Jeudi 24 - Vendredi 25

Jeudi 24

En compagnie de notre guide Benoît, nous découvrons Buenos Aires, en long, en large. Nous faisons une partie des grands classiques proposés dans tous les guides : San Telmo, Place de Mayo, avenue du même nom et son incontournable café Tortoni, Congresso, avenue Corientes, le thêatre Colon, Place San Martin (très reposante avec ses arbres majestueux).

                                                Place de Mayo

                                                                                                  Cafe Tortoni

Bref, une " promenade " de....... 14 km, sans ampoules aux pieds, parfois rafraîchie par de courtes ondées aussitôt suivies par un soleil resplendissant.

Dìner dans un restaurant du nouveau quartier de Puerto Madero : buffet, viandes et desserts à volonté.

Vendredi 25

Après maintes recommandations, notre guide nous donne quartier libre. Nous continuons notre découverte de la cité portègne. Dans le barrio de La Recoleta, nous visitons la basilique de Nuestra Señora del Pilar,  véritable hymne au style baroque : Christ agonisant, Mater dolorosa en tous genres, dorures à profusion dans toutes les chapelles. Et que dire du maître autel et du rétable du choeur ?

 

      Basilique Nuestra Señora del Pilar

Cementerio de la Recoleta

 INDESCRIPTIBLE ! Tout l'art de la folie des grandeurs s'étale dans ce lieu de repos éternel. Une concentration de monuments, de mausolées, de caveaux plus richement décorés les uns que les autres et aux dimensions IMPRESSIONNANTES. Tous les plus grands artistes ont donné libre cours à leur imagination pour les orner, selon les styles du moment. L'art nouveau côtoie le néoclassique, le néogothique, etc..

Caveau d'Eva Peron

Nous poursuivons par le musée des Beaux Arts puis, dans le bario de Palermo, le Jardin japonais, le Parque 3 de Febrero et sa magnifique roseraie.  Benoît vient nous rejoindre. 

Le jardin japonais

Le Parque 3 de Febrero

Sa roseraie

Et c'est reparti pour une autre rando à travers les artères de Buenos Aires. Il faut jouer des coudes pour fendre la foule, courir pour éviter les véhicules dont les conducteurs ne connaissent pas les règles élémentaires du code de la route ( c'est cent fois pire qu'à Toulouse !!! ). Pauvre piéton !

  De rues en rues, de parcs en parcs, nous avons encore avalé 10 bons kms. Les muscles, à ce régime, vont être de béton pour affronter les Andes.